1) Entraînement militarisé et exercices conjoints : depuis 2020, les cinq groupes armés palestiniens dirigés par le Hamas mènent des exercices conjoints à Gaza. Ces exercices comprennent des tactiques telles que la prise d'otages, l'attaque de camps et le franchissement des lignes israéliennes, et sont très similaires aux tactiques utilisées lors de l'attaque contre Israël le 7 octobre.
2) Leadership et organisation du Hamas : le Hamas, l'organisation armée la plus puissante de Gaza, est la force dominante de la coalition. Il rassemble 10 autres factions palestiniennes dans des manœuvres de type jeu de guerre.
3. la transparence et l'intention des manœuvres : ces manœuvres ont été enregistrées dans des vidéos soigneusement montées et diffusées sur les médias sociaux, démontrant l'"état de préparation permanent" des factions armées et la menace qu'elles font peser sur Israël.
4) Exécution de l'attentat : lors de l'attentat du 7 octobre, cinq groupes ont publié des vidéos montrant leur participation à l'attentat et trois autres ont fait des déclarations écrites sur Telegram revendiquant leur participation.
5. réaction et surveillance israéliennes : les forces de défense israéliennes (FDI) ont effectué des frappes aériennes pour perturber les activités d'entraînement du Hamas. Toutefois, les avertissements israéliens concernant ces entraînements auraient été ignorés.
6. le réalisme des exercices : le Hamas a veillé à ce que les exercices soient réalistes, y compris l'attaque d'une base militaire israélienne simulée et l'utilisation de diverses tactiques.
7. l'ampleur et l'impact de l'attaque : l'attaque a signifié que les participants ne représentaient qu'une petite fraction du nombre total de militants à Gaza. Le Hamas a bénéficié d'un soutien inter-factionnel pour préparer l'attaque.
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